Un format court, expérimental, à taille humaine. Un prétexte pour poser un regard profond, tendre et lucide sur nos errements relationnels. Un espace protégé pour parler vrai, (se) questionner, réfléchir ensemble. Un moment pour (re)trouver la chaleur simple des rencontres humaines.
On ne devient pas accompagnant pour rien. Ma vie relationnelle, personnelle et professionnelle, est riche de ses ratés, de ses tentatives avortées, de ses espoirs déçus. C’est par cette porte là que je vous invite à entrer. Par les portes que j’ai prises dans la gueule. Et puis, sur ces ruines, on va causer. Chercher ensemble. Partager nos vécus d’humains débarqués sur Terre sans le mode d’emploi de la relation. Nos vies sont pleines de ces relations espérées, aimées, aimantes, foutues, bancales, jubilatoires, secrètes, subies, brutales, coupées, regrettées.
Les mots sont des charnières entre moi et l’autre. Dans ma vie, il m’est arrivé de laisser close la porte du langage et de vivre la violence du silence. J’ai parfois ouvert la porte à tous les vents, et elle fut arrachée. J’ai souvent tapé à la porte de l’autre sans jamais la voir s’ouvrir. Pas vous ?
J’ai appris que la parole vraie est la clé de la relation humaine, précieux espace de liberté et d’ouverture, loin du leurre des réseaux sociaux, à rebours de la tentation de repli sur soi, des projections et des jugements.
Les travaux de C.G. JUNG (langage des rêves, constellations archétypales, lecture symbolique), la mémoire cellulaire, la psycho généalogie, la maturité relationnelle, l’écriture thérapie m’ont aidé à faire un bout de chemin et cela alimentera nos échanges.
Les Causeries du JE DIS, c’est un atelier créé pour que circule la parole et qu’évoluent les regards posés sur soi, sur l’autre et sur le monde. Avec vérité, profondeur et humour. Car le monde est fou et moi je vais bien.
Frédérique Petit
Un mot de passe sera demandé pour entrer. Il vous sera envoyé par SMS lors de votre inscription. Accueil à 19H00, pour un début à 19H15 précises.